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11/02/2012

Périple dans l'île du Nord...

P1070787 - Copie.JPGQuelques nouvelles fraîches de Florence, comme s'il était encore possible de nous rafraîchir pendant cette vague de froid...

Dix jours à vadrouiller dans l'île du Nord. Nous avons pris le train, l'overlander, à Wellington jusqu'à Hamilton, 394 kilomètres parcourus en 10 heures. Non, pas en train à vapeur, mais pas loin ! Le train a traversé des endroits extraordinaires, grimpé des montagnes, frôlé des falaises. Clou de la journée, le mont Ruapehu que nous avons longé pendant quelques heures. La locomotive ralentit pour permettre aux voyageurs d'admirer les paysages et on a la chance de pouvoir se mettre sur une plate-forme extérieure et prendre des photos.

Mont Ruapehu.jpeg

A une heure, le convoi s'est arrêté et les voyageurs sont descendus déjeuner dans une petite gare. Hamilton, ville sans intérêt, nous y avons juste passé la nuit et le lendemain en route pour Rotorua, la ville des Maoris. Grand soleil, le lac avec ses cygnes noirs, l'odeur de souffre, les fumerolles, des geysers ! Les volcans toujours en éveil. Spectacle de danse maorie, allez, touriste jusqu'au bout ! On a voulu aller jusqu'au lac Taupo mais pas de chance, pluie battante et on a rien vu que le brouillard et un ciel sombre.

Geyser 4.jpeg

 Presquîle de Coromandel. Le ciel se dégage et cette fois-ci on est arrivé au bout du bout du monde. Des collines qui se jettent dans la mer, des kauris (arbres pouvant mesurer jusqu'à 50 mètres de haut et dont on ne fait pas le tour), des forêts où il ne vaut mieux pas se perdre, des cascades, des plages immenses bordées de pohutukawas, ces arbres qui donnent des fleurs rouges, des coquillages... et le Pacifique. Encore une fois, on se sent tout petit face à cette nature si présente, si puissante.

Pt de vue bien.jpeg

 C'était la fin des grandes vacances en Nouvelle-Zélande et à part quelques jeunes routards, nous étions seuls. Retour à Wellington sous un vent frais et quelques nuages. Ici, on attend l'été et il tarde. On dit même qu'il ne viendra pas ! Le festival du film français est inauguré avec de bonnes programmations : La guerre est déclarée, l'Apollonide, Ma part du gâteau, La guerre des boutons entre autres. Même s'il y a peu de français ici, la culture de notre pays est appréciée. Les Alliances françaises se battent pour la faire connaître.

Je ne vais pas bouger avant le mois de mars, ça me laisse le temps d'écrire mon roman et de travailler le conte musical avec Franck Monnet. En mars, ce sera Nouméa, Auckland, Dunedin, Christchurch et Samoa. A très vite donc.